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CITATIONS
"Ce qui tourmente les hommes ce n'est pas la réalité, mais les opinions qu'ils s'en font."
(Epictète)"Son cœur est un logis qui n'a pas d'escalier.
Ses intimes amis ne savaient trop qu'en dire.
Parler est trop facile, et c'est trop long d'écrire:
Ses secrets sentiments restaient sur l'oreiller. "Alfred de Musset
"Aimé, hier soir je lisais un livre et soudain je me suis aperçue que je ne comprenais rien et que je pensais à vous."
Albert Cohen (Belle du seigneur)
"Il est des joies comme il est des douleurs qui défient toute description, et si le pinceau de l’artiste réussit à montrer toutes les douleurs ou toutes les joies de l’âme, la plume de l’écrivain s’arrête impuissante, ou se brise de désespoir."
Pamphile Lemay
Quelle force prodigieuse que celle d’un être absent.
Violette Leduc (Correspondance - Lettre du 2 janvier 1954 à Jacques Guérin)
« Chaque nouveau matin, je sortirai dans les rues en cherchant les couleurs »
Cesare Pavese (Agonia - 1936)
«Ils sont un même être en deux êtres différents ; là c'est, si je ne me trompe, la définition des amis parfaits.»
Emile Zola (Les aventures du grand Sidoine et du petit Médéric)
"Le silence est parfois une forme de résistance."
She Lao
"Je t'attendrai. Et je t'attendrai. Et je t'attendrai encore. Pour te voir, pour t'avoir, pour me sentir à nouveau heureuse. Heureuse comme un ciel au crépuscule."
Federico Moccia (J'ai envie de toi)
En vertu de l’Amour
J’ai dénoué la chambre où je dors, où je rêve,
Dénoué la campagne et la ville où je passe,
Où je rêve éveillé, où le soleil se lève,
Où, dans mes yeux absents, la lumière s’amasse.Monde au petit bonheur, sans surface et sans fond,
Aux charmes oubliés sitôt que reconnus,
La naissance et la mort mêlent leur contagion
Dans les plis de la terre et du ciel confondus.Je n’ai rien séparé mais j’ai doublé mon cœur.
D’aimer, j’ai tout créé : réel, imaginaire,
J’ai donné sa raison, sa forme, sa chaleur
Et son rôle immortel à celle qui m’éclaire.Paul Eluard (Le temps déborde - 1947)
“ Il n'y a rien de plus précieux en ce monde que le sentiment d'exister pour quelqu'un. ”
[ Victor Hugo ]
Quelle force m'entraîne ? Une force aveugle ? Un amour ? Peut-être un amour.
François Mauriac (Le nœud de vipères - 1932)
"J'ai cru d'abord que de ne pas vous voir serait comme de s'endormir et, quand on dort bien, on est heureuse. Mais je dors mal. Cela tient plutôt de l'insomnie. Rien ne me distrait de vous, rien n'arrive à m'en étourdir. Je suis entrée dans ce silence et il m'étouffe."
Louis Aragon (Aurélien)
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